Le 28 février, l'initiative dite «de mise en oeuvre» sera soumise au vote. Avec ce titre trompeur, l'UDC prétend vouloir faire appliquer la volonté populaire, qui n'aurait pas été respectée suite à l'acceptation en 2010 de son initiative sur le renvoi des «étrangers criminels». Pourtant, l'initiative actuelle est encore plus extrême. Elle est violente, relève de la logique d'apartheid, et menace les droits fondamentaux de toutes et tous.
- Argumentaire de SOSF contre l'initiative «de mise en oeuvre» (FR)
- Vers le site «Initiative de mise en oeuvre NON»
- Lien vers l'article «Initiative de mise en oeuvre: minage des droits fondamentaux»
- Sexe, âge, richesse et niveau de formation: les vrais facteurs explicatifs de la criminalité